Pour Laure et Jocelyne,
Quelle tristesse de lire l’avis de deces de l’Abbe Contant. Je suis Danielle Lamer, j’ai 56 ans. Je suis la fille de monsieur Lamer, Paroisse Christ-Roi. L’Abbe Contant fut mon enseignant d’histoire de 1972 a 1975 a l’ecole secondaire Marie-Anne dirige par les Soeurs de Sainte-Anne. Il etait un excellent professeur et avait sa maniere a lui de nous enseigner ce qui nous ravissait toutes . Il etait drole, amusant et avait une ecoute extraordinaire aupres de tous ses etudiants. Nous l’adorions. Il fut l’un des premiers enseignants a ne pas se limiter qu’a l’enseignement mais aussi a se soucier du bien-etre de ses eleves. A l’adolescence, l’incertitude et l’angoisse sont toujours presentes. L’Abbe Contant etait la pour nous guider et nous conseiller. Nous nous assoyions dans son bureau et nous discutions de la vie et du futur. Il etait toujours disponible. Abbe Contant, merci pour tout. Assurez-vous de nos prieres. Vous avez ete celui qui nous a aides a devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Merci.
En toute amitie
Danielle Lamer
Sincères condoléances, à Claudette , Denise et André et toute la famille Contant; il nous est impossible, d aller aux funérailles;étant pris ailleurs,sincères sympathies!
Lisette et Yves Bélanger
Chère Laure,
Claude et moi-même t’offrons ainsi qu’à ta famille nos condoléances les plus sincères. Nous serons avec toi par la pensée et le coeur au moment des funérailles. Bon courage!
Amitiés
Mariette et Claude Lemieux.
Chère Laure,
Je t’offre mes sincères condoléances ainsi qu’à ta famille. Gilles avait béni notre mariage, j’en garderai toujours un excellent souvenir. Je suis avec toi en pensée aujourd’hui.
Amitiés,
de Québec,
Lyse Meloche Cartier
418-683-0210
Salut l’abbé, tu m’as enseigné le latin de 1964 à 1966 au Collège St-Paul qui est devenu ensuite le Cegep Bois-de-Boulogne. Tu étais titulaire de notre classe de jeunes énervés débordant d’énergie que tu n’avais pas trop de difficulté à contenir avec ta grande diplomatie et ton écoute sans pareil. La dernière fois que je t’ai vu c’est en 1988 lors d’un conventum organisé par quelques uns d’entrenous. Tu nous faisais encore des remarques sur nos fautes de français avec ton humour légendaire. C’est seulement hier que j’ai appris par un de mes amis que tu étais parti et j’ai eu beaucoup de peine.
Bravo pour tout ce que tu as fait et j’offre mes plus profondes sympathies à ta famille. Ainsi s’achève une belle vie consacrée aux autres. Merci l’abbé Gilles.
Richard Macdonald