Enfant, j’ai toujours été intriguée par “mon oncle Éloi”.
Assis dans sa bijouterie, seul, il portait cette lunette spéciale, un monocle très épais, qui lui donnait un air bizarre et imposant pour la petite fille que j’étais.
Éloi a fait partie de mon paysage d’enfance, comme son épouse Isabelle, tout comme vous, Jean, Luce, Paul, Nicole.
À chacun de nos parents qui partent, un morceau de l’histoire, la nôtre et celle de notre village, se détache.
À nous de garder cette histoire vivante et de la chérir dans nos souvenirs.
À chaque membre de la famille, j’offre mes sincères condoléances. Soyez assurés que je pense à vous.
Louise Allard