mes symphaties a la famille,. quelle femme charmante et attachante étais votre mère ,.j ai eu la chance de m occuppé d elle alors quelle étais au centre st -Antoine de Padoue ,.et je lui est tenu la main un bon ptit bout la veille de son décès,avant que mon quart de travail finisse,.elle demandais sa mère et je réussissais a la calmé en lui disant quelle n étais pas seule que j étais là ,. a mon retour au travail elle étais déjà parti pour un monde meilleur ,.bon voyage Mme Guilbault,. reposer en paix,.,.,.Louise xxx
Sinceres sympathies a la famille de Marjoleine et Serge Lepine ainsi qu’a tout les
autres membres de la famille de Mme Guilbault. C’est toujours difficile de perdre
une personne aussi chère qu’une maman,mais vous avez la consolation de savoir
qu’elle a eu une longue vie remplie d’amour et de joie et que chacun de vous va
conserver le souvenir de merveilleux moments vecus en sa compagnie. Elle va
ainsi continuer a vivre dans votre memoire. Toutes nos pensees sont avec vous.
Therese Lepine et Raymond Burgess.
Marjolaine et Serge, et toute la famille Simard, nous vous envoyons nos sincères sympathies.
Nous savons combien votre mère était une présence importante dans vos vies. Je me souviens d’elle comme une femme très belle, très enjouée et aimant la musique et les chansons. Cela remonte il y a bien des années. Sa belle voix et son histoire dans la chanson “Douce Mamie” sur le CD de Marie Annick restera dans l’histoire. Quel cadeau précieux!
Nous vous aimons, Lorraine Lepine et Stephen, Julia et David Foley
Étant dans l’impossibilité de me rendre à St-Lin pour vous offrir mes condoléances. Je profite de cette tribune, pour vous offrir à toute la famille, mes plus profondes sympathies. C’était une tante que j’aimais beaucoup et de plus elle a été une grande inspiration dans ma vie. Les souvenirs, qui me resteront de tante Jeannette sont surtout la représentation d’une femme qui était toujours accueillante et souriante. Elle avait une joie de vivre qui était contagieuse. Je pense à vous dans ces moments difficiles. Francine Gariépy et Jocelyn Fournier