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Forget , Luc
1949 - 2016
À son domicile, le 4 juin 2016, à l’âge de 66 ans, est décédé M. Luc Forget, retraité du Cégep de Joliette, demeurant à St-Liguori.
Le défunt laisse dans le deuil sa fille Jessica Bélanger (Stéphane Courcelles), ses petits-enfants; Christophe, Sarah, Marcelina, sa grande amie Marilène Poitras, ses frères, soeurs, beaux-frères et belles-soeurs; Réjean (Marcela Cazas), Guy (Diane Lefebvre), Marie-Reine (Marcel Dupuis), Nicolle, Jacinthe, Jacqueline (Marc Bourdon), neveux, nièces, cousins, cousines ainsi que plusieurs autres parents et amis.
M. Luc Forget sera exposé le vendredi 10 juin 2016 de 19h à 22h et le samedi 11 juin 2016 de 9h à midi à la Résidence Funéraire André Légaré Inc. 764, Principale, St-Liguori, J0K 2X0
Résidence Funéraire André Légaré Inc.
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Puisse les mémoires de cet être cher vous apporter la paix et vous réconforter.
Nos plus sincères condoléances en ces temps de profonde tristesse.
Yvan & Simonne Brisebois
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À toute la famille, je vous offre mes plus sincères condoléances ...
France Desmarais
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Luc a été mon professeur de tango et aussi mon collègue de travail. Pendant quelques années, nous avons partagé le même bureau. Il était un homme assez discret tout en étant d’agréable compagnie. Son décès est triste, d’autant plus que je percevais chez lui une soif de vivre et un esprit toujours en quête de la réalisation d’un quelconque projet.
Mes sincères condoléances à toutes celles et à tous ceux qui souffrent de son départ.
Florian Péloquin
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Mes condoléances à toute la famille
Louise Destosiers
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Luc fut mon premier ami d’enfance et, comme l’écrivait ma mère dans son journal, mon préféré. Je me souviens de notre première journée de classe de I ère année le 3 septembre 1955, à l’école St-Joseph de St-Liguori, lui avec son béret, moi avec ma casquette. Nous écoutions Sœur Marie du Tabor. À la récré, on nous taquina avec nos couvre-chef. De la solidarité dans l’adversité naquit une amitié qui dura tout le primaire, se poursuivit sporadiquement au secondaire, avant que nos routes bifurquent. Ce n’est qu’en 2011, le 7 août, jour de son anniversaire que nous avons repris contact au téléphone.
Déjà adolescent Luc voyait toujours les choses du bon côté et était habité d’un enthousiasme qui contrastait avec la morosité de certains d’entre nous. On aurait dit qu’il était devenu adulte avant nous. Sérieux en classe, je lui doit la découverte de Ravel, des Platters, sans doute emprunté à ses aînés, mais qu’importe; il les avait intégrés comme si cela venait de lui. Il m’avait prêté un livre de Sandor Ferenczi et il parlait de Freud comme s’il l’avait connu. On ne s’ennuyait jamais avec lui au Restaurant Broadway ou au Ste-Rose. J’ai toujours admiré à cette époque et plus tard les bons mots qu’il avait pour les réalisations de ses frères et sœurs.
Avec son départ c’est une partie de mon enfance qui s’étiole mais il restera toujours bien vivant dans mes souvenirs.Jean-Charles Vincent frère de Raymond
Greenfield-Park (anciennement de St-Liguori, dans le temps, la maison juste après son oncle Jean-Marie et sa tante Irène)
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Cher Luc, je ne t’ai connu qu’un peu au tango mais nous avons sympathisé. Tu avais un style de danse complexe, bien à toi, et apprécié. Tu étais discret, passionné, cultivé. Repose en paix.
André Valiquette
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Mes sincères condoléances à toute la famille. Je vous souhaite beaucoup de courage face à cette épreuve. Pour moi Luc était un sage, il disait tout avec douceur. C’est un homme qui ne vieillissait pas et qui prenait soin de sa santé. Il semblait si bien il y a une dizaine de jours lorsque je l’ai rencontré, qu’il repose en paix.
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Sincères condoléances à la famille Forget.
Mes pensées vous accompagnent.Sylvie-Catherine De Vailly